mardi 30 septembre 2014

Le cerveau de Kennedy de Henning Mankell

Automne 2004.  Louise Cantor quitte son chantier de fouilles du Péloponnèse pour rentrer en Suède.  Impatiente de revoir son fils, elle le trouve mort dans son appartement de Stockholm.  Qui a tué Henrik?  Pas un instant Louise ne veut croire que son fils unique se soit suicidé.  Avec l'énergie du désespoir et une obstination d'archéologue, elle va tenter de reconstituer fragment par fragment les dernières années d'une vie brutalement interrompue.  Secondée par Aron, le père d'Henrik qu'elle a déniché au fin fond de l'Australie, Louise découvre que son fils avait une vie secrète, émaillée d'inquiétantes zones d'ombres.  A travers ce récit palpitant et lucide, Henning Mankell exprime sa colère contre le cynisme du monde occidental face au lent naufrage d'un continent rongé par le sida.

Couché dans son lit, en pyjama, normalement il dort nu, Louise trouve son fils mort. Le choc, son fils unique est mort, et d'après l'autopsie, une overdose de médicaments.  Selon elle, Henrik n'aurait jamais fait ça, se suicider!  Louise est archéologue, elle veut savoir ce qui est arrivé à son fils.   Dans son appartement elle découvre des documents qui l'amèneront en Afrique,  continent du sida.  Des médecins qui font des recherches sur des gens qui n'ont pas le sida, des médecins qui font des injections, des médecins qui veulent découvrir le remède.  Henrik aurait-il vu des choses qu'il n'aurait pas du voir?  A-t-il été assassiné?  Elle veut savoir.

C'est le deuxième livre d'Henning Mankell que je lis, ces histoires sont des histoires de solitudes, pas beaucoup de personnages, moi qui lit toujours des histoires compliquées, une lecture tranquille, une lecture que l'on veut terminer.

Je vous le suggère,  et je donne un 7/10

Fleurdelivres

Aucun commentaire: